Menu
Inspir-ō-Blog

Je n’en voulais pas, maintenant je ne m’en passerais plus

Au moment où j’ai fait la connaissance de la crème pour les yeux de la gamme de soins essentiels pour la peau de dōTERRA, ça faisait déjà un moment que j’utilisais la majorité des produits de cette compagnie. Cette même journée, il y avait un produit gratuit (la crème contour des yeux) à l’achat de ma synergie préférée pour mon visage, Yarro|Pom. Bref, je me suis retrouvée avec ça entre les mains en me disant: «qu’est-ce que j’ai à perdre…?!» Ça n’a pris que quelques jours pour me convaincre de jeter mon nouveau tube de cortisone à peine ouvert. Oui, sans hésiter j’ai abandonné mon ancien produit.

Après avoir utilisé/essayé 1001 crèmes/trucs de grand-mères, j’en étais venue à me dire que je devais accepter ma condition tout simplement. J’étais aux prises avec cette douleur, une inflammation chronique de la peau de mes paupières. Évidemment, cette inflammation était accompagnée de démangeaisons désagréables. En fait, je fais de l’eczéma sur les paupières. Je connaissais la source de mon malaise, mes poussées d’eczéma surviennent tout le temps en période de stress. Dès que je vis une période de vie plus angoissante, les lésions empirent. Sinon, ça demeurait de façon légère, mais constante.

Je constatais l’état de mon visage chaque fois que je me brossais les dents, à chaque instant où je me lavais les mains au courant de la journée ainsi que tous les soirs en faisant ma routine de soins quotidien pour ma peau. Je voyais clairement que les solutions que je mettais en place ne fonctionnaient pas. La situation diminuait, oui! Mais je n’étais pas en paix avec l’apparence de mes yeux. Toutes les fois où j’avais une démangeaison et que, sans le réaliser, je me retrouvais les mains dans le visage à me gratter les yeux, j’avais mal. J’avais la peau au vif, elle brûlait et le pire c’est que la douleur était toujours présente. À ce moment de ma vie, j’étais tellement découragée, en quête de LA solution qui allait régler ma situation.

Après plusieurs mois, voire même plusieurs années de douleur, je me suis finalement résignée à me rendre à la clinique médicale. Mine de rien, les soins de santé au Québec ont beau être gratuits, mais le cumul des étapes à réaliser pour obtenir la prescription dans mes mains, ça devenait très lourd. J’étais tannée d’attendre une heure au téléphone pour obtenir un rendez-vous, une heure à patienter dans la salle rendue sur place, 30 minutes dans le bureau de mon précieux médecin de famille (je l’aime d’amour, précisons-le), sans oublier l’étape où je devais me rendre avec ma prescription à la pharmacie où le délai pour recevoir mon tube anti-gratouille variait entre 20 et 30 minutes. Soupir. C’est bien beau tout ça, mais ça vient aussi avec des effets secondaires tels que des limites d’utilisations très claires. Ne pas utiliser le produit plus que tant de temps parce que ça amincit la peau. Évidemment, j’ai mis aussi en place des outils pour réduire ma source de stress : méditation, marche, visualisation, écriture, etc. Bref, j’me donne à fond pour tenter de régler ce qui traîne depuis un méchant bout de temps, mais surtout régler la condition qui fait en sorte que je me sens mal.

Et oui, tu as tout compris: c’est la crème pour les yeux de la gamme de soins essentiels pour la peau de dōTERRA dont je t’ai parlé plus haut qui a fait LA différence pour moi. J’ai maintenant la joie de me regarder dans le miroir et de voir mes yeux comme je les ai toujours vus: LIBRES! Ha! Ha! Ha! Non seulement mon eczéma a disparu, mais maintenant je l’applique 1 fois par soir en prévention et je continue de pratiquer ma technique de visualisation, d’aller marcher, d’écrire, etc. Je fais en sorte de maintenir mon niveau de stress au plus bas pour mon bien-être physique et ma santé mentale. Cette grosse croûte de peau douloureuse que j’avais sous les sourcils est, à mon plus grand bonheur, disparue. La douleur associée à cette condition est également disparue. Cette sensation de brûlure lorsque je me gratte quand ça pique? Hop! Disparue! Je vous le dis, j’ai toujours trouvé que mon regard et mes yeux étaient tout ce qui faisait mon charme, je ne l’avais plus. Dorénavant, je vous qualifierais d’indescriptible ce sentiment que je ressens de retrouver enfin cette partie de mon corps que j’aime tant – au naturel.